Calamity Woman / Héléna Carter

Héléna Carter

feat : Erica Durance

Télékinésie : Je ne sais toujours pas pourquoi lorsque j'utilise ma télékinésie, je saigne du nez et j'ai de terribles maux de tête. D'ailleurs, j'évite d'utiliser ce pouvoir ... Je devrais aller consulter ... mais j'ai la trouille de découvrir la vérité.

Électrokinésie : Le pouvoir que je contrôle le plus. Je peux créer des arcs électriques entre mes doigts et faire griller tout un système informatique, par exemple. Au plus ma cible est grande et au plus cela me demande de l’énergie et cela m'épuise vite. Et mes émotions se calquent dessus. Dès que je suis en colère ou que j'ai peur, je peux griller n'importe qui. Ma hantise est de blesser une personne sans le vouloir

Invisibilité : C'est au moins le seul pouvoir avec lequel je ne peux ni blesser, ni me faire mal.
J'arrive à bien le maitriser, mais il me demande pas mal d'efforts quand je l'utilise sur d'autres personnes.

Que puis-je vous dire sur moi ? Derrière cette apparence d'ange, de cette image de femme calme, se cache un caractère  bouillonnant et passionné, parce que je suis ainsi… Je ne pratique pas la langue de bois, je suis directe quelle que soit la situation même si cela m’a posé des problèmes certaines fois.
A la fois malicieuse et taquine, je peux m’avérer être une véritable « casse-pieds », une petite « chieuse » rien que pour provoquer mon interlocuteur. J’adore avoir le dernier mot, têtue, j’aime avoir raison sur tout même si j’ai tort...
Je suis une personne enflammée et exaltée. Je ne me laisse jamais faire, et je ne courbe que très peu l'échine ce qui a fait de moi ce que je suis aujourd’hui : une journaliste respectée par la sincérité de mon travail et de mes articles…
Il m’est arrivé très souvent de m’élever contre les réactions excessives du gouvernement  mais j’ai toujours été protégée. Je sais que dans l’ombre, c’était bien mon patron, Oliver Van Harper qui me soutenait et qui ne cessait de me défendre même si cela le mettait dans une situation particulière avec son statut de ministre. D'ailleurs, c'est grâce à lui que je suis devenue une Pacificatrice.

Je suis née le 28 juin 2079 dans une famille asarienne modeste, entre un père employé dans une grande firme, et une mère secrétaire médicale. Fille unique, je ne manquai de rien. Mon éducation fut peut-être un peu différente des autres enfants de ma génération. Déjà, mes parents n’avaient pas d’esclaves mais des domestiques qu’ils ne maltraitaient pas ce qui les mettaient un peu à part de notre société, car ils n’entraient pas dans le moule de notre cité où la  race dite supérieure prônait avant tout son autorité face aux humains. Mon père et ma mère n’avaient pas les mêmes points de vue que leurs amis, leurs domestiques étaient à leur service depuis plusieurs années et ils n’avaient jamais rencontré de problèmes encore moins le fait d’utiliser la violence contre eux pour se faire respecter. Ce sont ces idées que mes parents ont voulu me transmettre : suivre ma propre voie et ne jamais devenir un petit mouton pour faire comme tout le monde et être bien vu.

Si mes parents se montraient discrets, autant pour se protéger que pour me sécuriser, je comprenais de plus en plus, au fil des années, la mentalité de mon peuple qui était si éloignée de ce que j’étais. Jamais je ne mis mon père et ma mère dans une situation pénible, et mon esprit vif me permit de me fondre dans la masse de cette société si arrogante d’elle-même.

Je me jurai, plus tard, que je ne me dissimulerais pas devant les autres et que l’opinion de chacun devait être écoutée et non pas entravée par des lois. Mes parents m’ont toujours poussée à faire ce que je croyais juste, à soutenir leur fille et à façonner la jeune femme fougueuse et têtue que j’allais devenir par la suite.

Excellente étudiante, j’entrepris des études en journalisme, et mon petit côté désinvolte et grinçant ainsi que mes tous premiers articles comme stagiaire, attira sur ma petite personne, l’attention et la curiosité du Patron de l’un des deux plus grandes maison de presses d’Asaria : le Times Révolution, journal très réputé et qui, par rapport à d’autres quotidiens, ne faisait aucune différence entre Asariens et Humains, un journal nouveau qui se permettait de mettre en avant les problème de la société actuelle et des conflits permanents. Le Times appartenait, et appartient toujours, à un Ancien du nom d’Oliver Van Harper, un des ministres du gouvernement, dont j’avais, au début, dû mal à supporter sa présence ni encore moins sa personnalité. Je fus engagée comme journaliste à part entière en 2105, à l’âge de 26 ans. Il était évident que j’avais gardé mon caractère de tête brûlée e je n'avais pas froid aux yeux, affrontant parfois l’impassibilité de mon patron dont j’avais dû mal à discerner sa personnalité. Pour être honnête, à cette époque-là, je ne supportais pas Van Harper. Le sachant ministre et à la botte de la Grande Conseillère, il me sortait des yeux. Moins je le voyais, mieux je me portais. Et pourtant, il y avait quelque chose en lui qui m’intriguait et dont je n’arrivais pas à mettre  le doigt dessus.

Lorsque je suis devenue titulaire et que j'avais enfin ma place comme véritable journaliste, j'aimais mettre mon nez dans des affaires particulières et qui pouvez irriter le gouvernement. Malgré le danger, j'ai su un jour, par pur hasard, que mon patron me couvrait pour tout. J'avais entendu une conversation téléphonique et là, je me suis aperçue que mon opinion sur lui était totalement erronée. Et comme j'ai horreur de tourner autour du pot, j'étais entrée dans son bureau une fois qu'il avait raccroché.

Oliver Van Harper avec cette façon si silencieuse et féline de se déplacer me demanda de le suivre hors du Times sans ajouter un mot supplémentaire, qu'il me dirait tout, mais avant cela je devais le suivre chez lui. Pourquoi donc devoir discuter chez lui ? Bref ... comme je me doutais bien que je n'aurais aucune réponse, je le suivis et il m'invita à monter dans sa voiture. Durant le trajet, je lui avais posé mille et une questions, mais mon patron s'était montré distant et très concentrée sur sa conduite. Une fois chez lui, à l'abri des regards et des oreilles indiscrètes, il me révéla le combat qu'il menait.
Je découvris alors qu'il était un Pacificateur, c'était en 2107. Je m’étais souvenue de ce message qui ne cessait de se répéter sur les ondes radios, expliquant que la présence des Pacificateurs n'était pas une illusions, qu'ils étaient bien présents au cœur de la cité et là, j'avais devant moi, un membre de ce groupe dont les idéaux rejoignaient les miens.
Après avoir discuté et échangé pendant tout l’après-midi et toute la nuit, je suis devenue une Pacificatrice depuis ce jour-là.
Oliver, pour nous protéger et protéger tout le groupe, a utilisé sa télépathie sur moi pour créer une barrière psychique, évitant à nos ennemis d'aller fouiller dans ma mémoire pour y découvrir les secrets de notre Cause.

Je ne pouvais malheureusement pas mettre au courant mes parents, mais je savais au fond de moi qu'ils auraient été fiers de mes choix.

► Prénom / Pseudo :

► Age : 28 ans

► Fréquence de connexion : 4/7

► Pourquoi as-tu choisi Asaria ? J'y étais déjà

► Déclaration sur l'honneur à signer :
"Je soussigné Héléna Carter , atteste avoir plus de 18 ans, reconnais avoir lu le règlement dans son intégralité. Par ce fait, je ne pourrai entreprendre aucune poursuite contre le forum quant à son contenu, ni contre l'hébergeur.
J'ai conscience que Asaria, terre de prophétie est un forum à intrigues pour plumes matures qui demande du sérieux, de la motivation, de la participation et du respect envers le staff et sa Communauté.
H. Carter, le 08.09.2018

► Les 4 mots mystérieux du règlement : Edit : Ok !