Viktor Graham, pour vous faire vivre l'enfer

Viktor Graham

feat : Alexander Skarsgård

► La Télépathie : C'est le pouvoir le plus instable. J'arrive à lire les pensées d’autrui ou bien à insuffler une idée, une opinion, un ordre, mais cela ne dure que quelques minutes et cela me vide de toute mon énergie.

► L'Aérokinésie : Le pouvoir sur le vent, sur l'air. C'est celui dont je maitrise le mieux. Sur une simple pensée, je peux provoquer l’asphyxie d'une personne, je peux créer un vent violent. Je peux projeter une personne assez loin, mais vous ne me verrez pas soulever une voiture ou une moto.

► L'Illusion : ce pouvoir se combine avec ma télépathie. J'impose une image, un décor que je créais de toute pièce pour piéger ma victime. Donc, j'agis sur sur cerveau ses pensées. Mon illusion, là aussi, ne durera qu'environs 3 à 5 minutes.

Mes qualités sont liées à mes défauts et tous ces traits que je vais vous citer, sont indissociables, les uns des autres :
Séducteur - Méticuleux - Observateur - Stratège - Calculateur - Impitoyable - Beau parleur - Rancunier - Manipulateur - Violent (avec mes victimes ou ceux qui oseraient me faire chier)

Je suis Ecrivain et beaucoup vous diront que c’est une arnaque niveau boulot. Je suis mon propre patron … enfin … pas tout à fait, mais ma maison d’éditions ne m’a jamais mise la pression. Je leur ai rapporté tellement d’argent, que je suis le chouchou de ma patronne. Je n’ai jamais couché avec elle pour avoir une promotion, même si elle est très mignonne. Mais, je ne préfère pas mélanger le travail et ma vie privée. L’image que je donne de moi est très ronflante et c’est ce qui me plait aussi. Mes fans me laissent tranquilles et je n’ai pas cette foule autour de moi quand je me balade dans les rues de la cité. Ce que personne ne sait, c’est que j’ai aussi un second métier qui me prend beaucoup plus d’énergie. Un seconde passion plus dangereuse. Et là, c’est l’adrénaline à 300 %. Je bosse là aussi pour mon propre compte sauf quand un Mécène bien friqué et qui allonge le prix, me demande de relever un défi. Je ne cours pas après l’argent, mais le succès, cette envie de toujours gagner et d’affronter des dangers différents à chaque fois qui me pousse à être un Mercenaire.
Comment je fais pour qu’on ne puisse pas me reconnaitre ? C’est simple : je porte un masque. Ma véritable identité est beaucoup trop médiatisée pour que je prenne le risque de dévoiler qui je suis et ce que je fais de mes nuits.




Commençons quand même par le début :
Je suis né dans une famille modeste. Mes parents n’ont jamais fait partie de ces Asariens tout puissants et influent d’Asaria. Mon père et ma mère vivent de leur poste à la banque centrale : La Davis Corp. Tower. J’ai été plongé dans les chiffres depuis mon enfance et j’ai toujours eu horreur des calculs, des maths, des statistiques et tut ce qui va avec. J’ai toujours aimé écrire. Dès que j’ai su écrire, faire des phrases, comprendre les mots, j’avais toujours avec moi, un carnet sur lequel je gribouillais mes histoires et mes idées.

Mon père m’a forcé à faire des études commerciales, via la voie économique  et de la finance. Heureusement que ma mère s’était vite aperçue de mon mal être dans ces études et elle prit ma défense contre mon père pour que je puisse être libre de choisir mon futur.
Je laissai tomber les finances pour me repositionner dans une section littéraire et là, ce fut les plus belles années de ma jeune vie. Je dévorai les livres, je passai plus de temps à l’Université, à la Bibliothèque qu’auprès de mes parents. Mes parents, et mon père avec qui je m’étais réconcilié, travaillaient durs pour me payer toutes mes études. Je compris qu’il était temps de me trouver un petit boulot. Ce fut à la grande Bibliothèque qu’on m’accepta. Au milieu de tous ces ouvrages numériques et certains encore papier, était un véritable trésor pour moi. J’avais 19 ans et je me sentais à ma place. J’avais un vrai but dans ma vie : devenir écrivain.
Pendant trois ans, en alternance avec mon petit boulot à la Bibliothèque Centrale, je décrochai mes diplômes. Vous lisez bien. Ma passion pour les mots, pour les livres m’avait poussé à étudier sur deux Masters en même temps. Je sortais peu, je n’avais pas de petite amie et tout cela n’était pas ma priorité. A 22 ans, j’avais mes diplômes en poche et j’avais même demandé au Directeur de la Bibliothèque et Ministre de l’Éducation et des archives historiques qui m’avait toujours tendu la main, s'il acceptait de me garder. Il faut généreux, car de simple stagiaire, je passais à une fonction supérieure : conseiller en lecture auprès de tous ces gens qui venaient pousser les portes de ce temple dédié à la Littérature de notre Monde.
Ma mère avait été d’un grand soutien. J’avais soulagé mes parents en les aidant en payer une grande partie de mes études, mais mon père voulait maintenant me voir vivre de ma passion et ne pas avoir fait tous ces sacrifices pour devenir un simple « conseiller en lecture ».

Tous mes carnets qui ne m’avaient jamais quitté depuis enfant ont été la source de mes succès.
Dix mois plus tard, j’envoyais aux deux grandes maisons d’éditions, mon ouvrage dont l’histoire se focalisait sur l’origine d’Asaria, la force de ses Survivants. Mon premier ouvrage fut mis en ligne sur la plateforme de la maison d’Édition : «  Dynastie ». Les ouvrages papiers étaient terminés depuis de nombreuses années et tout se faisait par transaction sur la plateforme de la maison d’édition. Tous eux qui voulaient lire mon livre, payer l’achat numérique ou bien un extrait.
Mon premier cachet fut fabuleux et encore plus énorme quand on me donna une avance sur mon second futur ouvrage. Je n’avais aucune pression et c’était le mieux pour moi.

Je vivais enfin et je découvrais la société, notre peuple, les rouages de la cité, son pouvoirs, ses influences. J’ouvrais les yeux sur la « Vie », sur le quotidien compliqué de mes parents, petits agents bancaires et je me promis que je ne resterais pas un Asarien lambda.

Les années passèrent. Ma célébrité grandit. J’avais écrit depuis l’âge de 23 ans, 8 livres. Mes livres numériques n’avaient jamais la même narration, ni encore moins le même sujet. J’écrivais sur la société, sur le passé, des histoires pour les enfants, un recueil de poèmes. J’aimais la diversité et je la cultivais. L’argent n’était plus une denrée rare pour moi. J’avais créé une société pour gérer ma fortune. Mais ma petite vie tranquille et bien rangée d’écrivain ne me correspondait plus. L’écriture était et resterait ma passion, mais j’avais besoin de plus.

Un soir de janvier de l’année 2107, un voleur bien renseigné et doué essaye de voler les codes de mon coffre privé, chez moi. Je ne devais pas revenir. J’avais un rendez-vous : un gala à la maison d’Édition, mais le hasard fit bien les choses : j’avais oublié mon téléphone. Ce type, que je pris sur le fait, avait réussi à ouvrir mon coffre. Je possédais des titres d’actions, des parts dans certaines sociétés, et quelqu’un l’avait payé pour récupérer la tablette où j’écrivais les pages de mon prochain livre.
Qui pouvait avoir besoin de voler un écrivain et son travail ? J’offrais à cet inconnu le triple de l’argent qu’on lui avait promis et il accepta. De plus, il me livra le nom de mon concurrent à qui j’avais fait de l’ombre depuis toutes ces années. Sans aucune peur et mué par une curiosité sans limite, je lui servis un bon verre. Je désirai en apprendre plus sur ses activités, qu’est ce qui le poussait à voler les autres : l’appât du gain ou bien l’adrénaline ?


Ce type surpris par mes questions, se demanda un moment si c’était un piège. Non, cela n’en était pas un, je désirai apprendre à me servir des autres pour prendre ce que je voulais. Il ne me dévoila rien de plus et il disparut en me lançant que le mercenariat n’était pas un job à prendre à la légère et un passe-temps pour un type en mal de sensations.
Il n’avait pas tort … Mais ce qu’il ne comprenait pas, c’était que j’étais prêt à le devenir pour moi, essentiellement, pas pour bosser pour un nanti sauf s’il payait cher.
Je pris les devants en payant un coach sportif pour être à la hauteur de ce type dont je ne connaissais pas le nom et qui avait déclenché en moi, un attrait pour ses activités nocturnes.
Je me renseignais sur le mercenariat et à force de placer mes pions dans la société, j’appris beaucoup de choses : qui étaient les nababs qui étaient prêt à n’importe quoi pour abattre leurs concurrents, pour les piéger. Mais le mercenariat était un cercle très privé.

Mes premiers vols, si on peut les nommer ainsi, étaient pour uniquement pour moi : j’avais baissé plusieurs de mes ennemis, ceux qui n’avaient pas hésité à me critiquer à ms premiers pas d’écrivains, et ceux qui possédaient certaines œuvres de tout genre dont je rêvais d’avoir. Pour ne pas risquer de me faire reconnaitre, je portais un masque blanc et j’étais toujours vêtu de noir, et d’armes de pointes que j’avais découvertes au fil des années.
Je dus prendre un nom de code : Wild Dog pour faire connaitre mes agissements et m’ouvrir les portes de contrats juteux.

Entre-temps, ma vie d’Écrivain se portait bien. Ma célébrité était ma marque de fabrique et m’avait permis de tisser des relations avec de grands noms.  
La cité d’Asaria voyait depuis des années l’avancée de factions toutes différentes, les unes que les autres : Les rebelles qui revendiquaient la haine envers mon peuple. Les pacificateurs, trop idéalistes et les Insoumis qui paraissaient être une légende. Pour moi, humains et les traites Asariens devaient subir la peine de mort, et si un jour j’en croisais un sur ma route, je me ferais une joie de leur faire cracher tripes et boyaux.

Aujourd’hui, Asaria est touchée par un groupe, une secte ? Epsilon.
Les médias ont expliqué qu’il n’y avait pas de danger, mais étrangement les patrouilles de la Milice se font plus importantes dans les rues et les soldats sont parés de leur équipement de terrain.
Je vais peut-être mener ma propre enquête de mon côté.

► Prénom / Pseudo : Snake

► Age : 30 ans

► Fréquence de connexion : 1 fois par jour

► Comment as-tu connu Asaria ? Sur le top site de PRD

► Pourquoi as-tu choisi Asaria ? Pour sa petite communauté (je n'aime pas quand il y a trop de monde, je me sens perdu), pour son contexte bien fourni, et les plumes que j'ai pu lire dans la section.
J'ai hâte de RP avec vous  

► Déclaration sur l'honneur à signer :
"Je soussigné Viktor Graham , atteste avoir plus de 18 ans, reconnais avoir lu le règlement dans son intégralité. Par ce fait, je ne pourrai entreprendre aucune poursuite contre le forum quant à son contenu, ni contre l'hébergeur.
J'ai conscience que Asaria, terre de prophétie est un forum à intrigues pour plumes matures qui demande du sérieux, de la motivation, de la participation et du respect envers le staff et sa Communauté.
V. Graham, le 10 avril 2019

► Les 4 mots mystérieux du règlement : Edit Mara : Ok