Nathan Wilson

Nathan Wilson

feat : Colin O'Donoghue

► Métamorphing : Je peux prendre l'apparence d'un autre individu, seulement des hommes (je ne peux pas changer en femme ... quel dommage...) et quelle que soit sa morphologie et la voix. Ce pouvoir me demande beaucoup d'énergie et d'endurance. La transformation ne dure environ que 5 à 10 minutes.

► Invisibilité : Très pratique pour arracher des secrets à tous ceux qui se croient intouchables. Temps d’utilisation de ce pouvoir, idem que pour le premier.

► Dazzler : pouvoir très pratique lorsque je suis sur scène Je fais moi-même les effets spéciaux de mes concerts, en augmentant la lumière déjà présente.
Je ne peux pas la créer,j'ai besoin d'un petit faisceau de lumière pour créer la mienne.

Rusé - Charmeur - Manipulateur - Arrogant - Égoïste - Observateur

J’ai vu le jour, il y a 35 ans et très difficilement. Ma mère, une Longue-Vie, avait éprouvé beaucoup de mal à tomber enceinte. Mes parents avaient tout perdu dans la pluie de feu et ils avaient été des survivants à reconstruire leur vie et à prendre part à l’édification de la cité. Ils se sont aussi rendus-compte que leur nature exceptionnelle de « Presque » Immortels  avait un coût : le soleil était devenu un terrible ennemi et enfanter, pour les femmes, était devenu très compliqué. Certaines familles n’avaient pas le bonheur de trouver en leur sein des héritiers. Mais la ténacité de ma mère avait enfin payé et je fus choyé, prince mâle de la famille. Je reçus le prénom de James Powell.
Il y a quelque chose qui vous échappe, pas vrai ?
Soyez patients, je vais tout vous raconter, ou presque.

Mes parents Longues-Vies furent les précurseurs de l’idée gigantesque de créer un établissement qui pourraient réunir l’art de la musique et du théâtre. Ils furent à l’origine de ce qui deviendrait plus tard : Le Multiplex. Cette idée était la leur, mais elle leur a été volée par la famille Bowman, par cette chienne et incompétente Emily Bowman…
 A l’époque de mon adolescence, j’avais vu ma mère dessiner chaque façade du Multiplex, chaque étage, chaque salle de concerts, les loges pour les artistes, les  salles de théâtres, les salles de cinéma, les restaurants qui accueilleraient tous les Asariens venus passer une excellente soirée après un évènement. Elle y apposait d‘une main gracile les couleurs, les matières qu’elle désirait voir un jour.
 
Ma mère, Maria Powell était une dessinatrice par excellence et mon père avait, dans les premières années d’Asaria, mis ses talents d’ingénieur pour redonner l’éclairage à toutes les premières habitations. Le plus important pour mon peuple s’était de retrouvé le confort et la sécurité. Ma mère aidait mon père a dessiné les plans de tout le réseau d’éclairage au fur et à mesure que les dômes se dressèrent. Ils avaient, tous les deux, fait beaucoup d’efforts et de sacrifices et cela avait payé. Les premières maisons, les premières tours, tout cela ils l’avaient vécu et ils étaient fiers d’avoir pu aider dans la mise en place de l’ultime cité sur Terre.

A ma naissance, la cité était fleurissante et je ne manquai de rien. J’avais toute une armada de domestiques humains et une nourrice Asarienne qui aidait ma mère pour m’élever. Mon père était devenu PDG de sa propre boîte hautement distinguée dans l’expérience et les installations électriques. Ma mère était restée une femme au foyer et elle n’avait jamais quitté son rêve de voir un jour la mise en œuvre d’un établissement sur le 7ème art, le théâtre et la musique. J’ai donc grandi comme un petit prince. Je m’asseyais souvent sur la moquette, près du fauteuil de ma mère qui dessinait sans cesse son rêve. Elle me racontait ce qu’elle imaginait, comme était les couleurs, les lumières, le mobilier, les formes des salles de concerts et de théâtre. Elle me répétait que tout ceci serait mon héritage, car je descendais d’une famille aux talents incroyables. Ma grand-mère maternelle avait été une star de cinéma dans l’ancien monde et elle avait rencontré mon grand-père maternel lors d’un concert. Il était chanteur dans un groupe de rock qui avait fait la folie des fans pendant les  années 1990. Mes grands-parents avaient tenu éloigné leur fille du star système, mais moi, j’avais été fasciné par cela depuis tout petit.

Tout ne faisant mes études, puisque c’était le désir de mon père que j’obtienne au moins mon diplôme, j’avais monté avec des potes de lycée, un petit groupe et c’était dans le garage de la maison de l’un d’eux qu’on répétait nos morceaux et nos petits concerts qu’on donnait souvent lors des fêtes de fin d’années ou bien dans la galerie marchande qui acceptait notre présence.
J’avais 17 ans quand un producteur nous approcha. Il était intrigué par nos talents et il voulait nous donner une chance d’enregistrer un disque. Asaria était devenue une cité imposante et importante, une mégapole où se concentrait tout ce qui avait pu vivre dans l’ancien monde. Les artistes n’étaient plus aussi nombreux, mais les chanteurs et les comédiens avaient repris leurs droits dans ce nouveau monde.

Un an après, en 2091, nous premier album composé seulement de 6 titres sortit dans les bacs et mes amis et moi, nous étions comme des fous devant ce rêve qui se concrétisait. Nous avions nommé notre groupe : Fantasya car notre musique était un mélange d’anciens chants celtiques, de longs morceaux de musiques solo et de textes qui parlaient de vieilles légendes.
Les années passèrent rapidement et les albums se succédèrent dans cette même passion et la frénésie de nos fans qui nous portaient jusqu’à la gloire.
On mûrit et on réussit à mettre dans nos textes, nos opinions, nos avis sans prendre parti pour la politique mais pour donner à nos fans le moyen de réfléchir sur la vie.

14 ans plus tard et 6 albums de sortis, ma mère me donna un cadeau énorme : les derniers dessins qui achevaient la création de l’établissement qui allait réunir les talents de plusieurs arts.
Mais deux mois plus tard, Maria et Léonard Powell trouvèrent la mort dans l’explosion de leur maison. Je leur avais rendu visite le soir-même et j’avais à peine fermé la porte de la demeure que tout explosa. Mon corps fut projeté à plusieurs mètres à cause de l’explosion et même si j’étais un Asarien doté du blood healer comme mes congénères, j’avais cogné la tête.
Les médecins diagnostiquèrent une hémorragie crânienne et on me plongea dans un coma artificiel pour que mon blood healer et les traitements puissent me soigner sans avoir d’effets secondaires sur mon organismes et mes pouvoirs.

Le 4 juin  2105, j’ouvris enfin les yeux et les potes du groupe Fantasya m’expliquèrent tout ce qui s’était passé pendant mon coma. Les avocats de mes parents attendaient mon réveil pour que je puisse signer les papiers qui faisaient de moi le seul héritier de la famille Powell.
2 mois après ma rééducation, je me trouvais devant les cendres de la maison familiale. L’enquête avait conclu à un surchauffement d’une installation électrique qui avait fait sauter tout le système. Je n’y croyais pas. Mon père excellait dans son domaine et il n’aurait pas pu passer à côté d’un tel danger pour sa famille.
Je sus aussi que l’idée de ma mère lui avait été volée. Un énorme complexe était en pleine construction regroupant des salles de concerts, de théâtres et de cinéma, exactement ce qu’elle avait imaginé depuis tant d’années. C’était la nouvelle ministre de la culture et des arts qui en était la conceptrice. On avait assassiné mes parents pour cela ? Est-ce que le gouvernement avait orchestré tout cela pour récupérer à son profit l’idée talentueuse de ma mère ?

Pour le savoir, j’ai changé d’identité. Mon pouvoir sur le Métamorphing m’aida beaucoup. Je mis en scène la mort de James Powell pour le faire renaitre en Nathan Wilson. Seuls mes amis de mon groupe savaient ma vraie identité et ils avaient joué le jeu de ma mort qu’ils annoncèrent via tous les médias, journaux et télévisions. Ils annoncèrent aussi quelques mois après, à l’intégration d’un nouveau chanteur : Nathan Wilson. J’avais changé physiquement. J’avais teint mes cheveux en un brun corbeau, je gardais toujours une barbe de quelques jours, j’avais appliqué des lentilles de couleurs et j’avais totalement refait mon look.
Sur scène, j’étais une sorte de Pirate qui comptait les aventures morbides d’un jeune homme qui avait cru au pouvoir mis en place, qui avait besoin de vérité et que rien ne l’empêcherait d’avancer.
J’étais un fantôme, j’accordais peu d’interviews. J’avais bien sûr accepté de me produire au Multiplex où je retrouvais toutes les idées de ma mère, jusqu’aux couleurs et formes des salles …
J’étais une sorte de fou qui chantait des chansons incompréhensibles. Les fans avaient salué ma venue et mon intégration dans mon propre groupe … Ce n’était que moi qui avais remplacé le jeune garçon plein d’idéaux que j’étais avant.

Les factions au fil des années se multiplièrent et donnèrent des maux de ventre au gouvernement et à sa Milice. J’observais de loin chacune d’elle sans me montrer. Je pouvais prendre l’apparence de n’importe qui et il m’était facile de me faufiler dans le bidonville à l’écoute de conversations de chacun.
Le Multiplex me revenait de droit, mais pour cela j’allais devoir prouver qu’on avait volé les plans de ma mère et que je n’étais pas mort … Pour le moment James Powell devait se terrer et laisser faire Nathan Wilson.
Epsilon pouvait être une manière de me venger tout en brouillant les pistes. Qu’ils meurent tous !

► Prénom / Pseudo : Snake

► Age : 30 ans

► Fréquence de connexion : Souvent

► Comment as-tu connu Asaria ? sur top site

► Pourquoi as-tu choisi Asaria ? Parce que j'y suis déjà ! Je suis Viktor Graham

► Déclaration sur l'honneur à signer :
"Je soussigné Nathan Wilson , atteste avoir plus de 18 ans, reconnais avoir lu le règlement dans son intégralité. Par ce fait, je ne pourrai entreprendre aucune poursuite contre le forum quant à son contenu, ni contre l'hébergeur.
J'ai conscience que Asaria, terre de prophétie est un forum à intrigues pour plumes matures qui demande du sérieux, de la motivation, de la participation et du respect envers le staff et sa Communauté.
N. Wilson, le 27.07.2019

► Les 4 mots mystérieux du règlement : Edit Mara : OK !