Feat : Chris Evans Nombre de messages : 573 Age du personnage : 30 ans Côté coeur : Célibataire
Points RP du mois : 3
Informations Complémentaires Pouvoirs ou Capacités: Maîtrise d'armes diverses, du combat en général, avec une préférence pour les armes blanches et le corps-à-corps Appartenance: A l'orphelinat ! Activité/Métier: Directeur de l'orphelinat
Sujet: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Dim 07 Juin 2020, 19:46
Age : 30 ans (né en 2079) Nom de Code : / Nature : humain Orientation sexuelle : hétérosexuel Métier ou Activité : Responsable de l'Orphelinat du Bidonville - Ancien Mercenaire Groupe : Pacificateurs Date du SEER : / PV ? OUI
Mes Pouvoirs / Mes Capacités
J'ai un super pouvoir : je suis éducateur. Non, ça ne marche pas ? Pourtant je vous assure que je suis doué avec les gamins, adolescents compris. Ca n'est pas toujours évident mais quand je vois comment gèrent certaines personnes, je me dis que ça pourrait vraiment être considéré comme un super pouvoir.
Sinon depuis ma formation intensive de mercenaire, je maîtrise toujours aussi bien le combat, surtout au corps-à-corps. Je suis bon en tir, mais si jamais ma cible m'approche de trop je saurais parfaitement bien la mettre à terre s'il faut la garder en vie, ou lui briser la nuque pour une morte rapide et efficace. J'ai une affinité particulière avec les armes blanches, j'en ai toujours un certain nombre sur moi. Ceci dit, si jamais pour une obscure raison je n'ai pas d'armes sur moi, un tuyau ou un bâton feront parfaitement l'affaire. Ou mes poings. Comme disait Levioque : nous sommes nous-mêmes des armes à part entière.
Mon caractère
Curieusement, j'ai une nature assez solitaire. De la part d'un Pacificateur qui gère un Orphelinat, on pourrait trouver ça surprenant je suppose. Mais ça me paraît plutôt normal en fait. Je travaille énormément pour les jeunes, je leur donne tout et s'il faut que je risque ma vie pour eux, je le fais. Mais à côté je peux rester des heures entières seul, sans parler à personne, sans même un bruit, sans que cela ne me dérange, au contraire. J'ai plutôt tendance à rechercher ces instants de grande tranquillité durant lesquels je ne dois pas m'inquiéter pour tel ou tel enfant. Bon j'avoue que j'y pense quand même, je crois que jamais je n'arrête vraiment d'ailleurs, mais j'arrive tout de même à me détendre pendant ces courts instants.
J'avoue que j'ai un peu de mal à m'arrêter. Il est rare que je sois inactif, et même si je peux en donner l'impression c'est simplement que je suis en grande réflexion. Heureusement je suis très endurant, alors je n'ai pas besoin de beaucoup de sommeil pour être au maximum de mes capacités. Et heureusement, car entre l'Orphelinat et les Pacificateurs, je n'ai vraiment pas beaucoup de temps à consacrer à autre chose. Et je ne sais pas dire non quand on a besoin de moi. D'ailleurs jusqu'à présent les choses sont plutôt bien tombées et je n'ai pas eu à choisir entre un problème urgent à régler avec un jeune et une mission vitale à effectuer pour le groupe. Si jamais ça devait arriver... Je ne sais pas trop ce que je ferais. J'improviserais je suppose en essayant de régler les 2 situations en même temps. Hmm... Autant éviter d'en arriver là hein !
Sinon je suis quelqu'un de très calme et posé. J'ai une patience infinie et, si je m'énerve vraiment, c'est soit parce que j'ai épuisé toutes les autres solutions possibles, soit parce que je sais que c'est absolument nécessaire. Parfois les gens ont besoin de comprendre qu'on est prêt à tout et ça passe par un haussement du ton. Mais c'est vraiment très rare, et souvent mon attitude sereine suffit à calmer le jeu sans que j'ai besoin d'en venir aux grands moyens.
Parfois je souris en imaginant ce que les enfants penseraient si je leur disais que j'ai été mercenaire et que je continue quelque part de l'être, même si c'est d'une autre façon. S'ils savaient que je peux leur chanter une berceuse le soir et rester avec eux jusqu'à ce qu'ils s'endorment pour leur première nuit à l'Orphelinat, et que l'heure suivante je suis capable d'être en train de taillader la gorge de quelqu'un pour l'empêcher de nuire aux Pacificateurs. Et ce sans aucun scrupule. Je ne prends pas de plaisir particulier à me battre ni à tuer, non, je fais juste ce qui est nécessaire.
Mon histoire
Honnêtement, je pense qu'on peut dire que je ne suis pas le plus malheureux du monde compte tenu de mon parcours. Ce n'est pas la grande joie tous les jours, c'est certain, mais ça pourrait être pire, surtout que j'étais plutôt mal parti. Déjà je suis un humain, autant dire que ça commençait vraiment mal. Avec des parents qui n'arrivaient pas vraiment à joindre les 2 bouts : mon père essayait laborieusement de réparer des véhicules miteux au Cars'Rep tandis que ma mère passait son temps à la taverne de l'enfer, enfin quand elle parvenait à faire quelque chose de moi. Après ça aurait pu être pire : au moins j'avais des parents qui ne me haïssaient pas même si je gâchais leurs nuits et engloutissais leurs maigres revenus. J'en ai vu des gamins maltraités, abandonnés, j'en passe et des meilleurs. Alors sur ce point, oui, j'ai eu de la chance. Le souci, c'est que la chance, ça ne court pas les rues, et quand ça vous trouve, ça ne reste jamais bien longtemps.
L'année de mes 8 ans, un soir où l'heure du couvre-feu avait encore changé, j'attendais le retour de mon père tandis que ma mère faisait de son mieux pour donner une vague forme à l'espèce de bouillie gélatineuse qu'on mangeait la plupart du temps, seule chose qu'on arrivait à obtenir avec nos moyens. Mais il n'arrivait pas et l'heure tournait. Alors elle décida d'aller voir, au moins pour se rassurer. Il était sûrement au bout de la rue et il se moquerait d'elle, mais ce n'était pas grave. Au moins elle saurait qu'il arrivait. Mais ce ne fut pas le cas. J'appris bien après que mon père était tombé sur la milice alors qu'il rentrait du garage, et que l'heure du couvre-feu était déjà dépassée. Ca s'était mal passé. Peut-être qu'il en avait juste eu assez de sa condition. Qu'il n'en pouvait plus de trimer toute la journée pour à peine quelques dollars qui ne suffisaient pas à nourrir sa famille correctement. Je ne sais pas, c'est juste que je préfère imaginer cette version. Ca ne change absolument rien aux faits, mais quand j'étais petit ça m'aidait à ne pas devenir fou.
Vous connaissez le coup du "Dites à un enfant de ne pas faire ça et vous pouvez être certain qu'il le fera" ? Je confirme, ça marche à tous les coups, même quand votre mère vous dit "Surtout reste à la maison". Pour défendre un peu les enfants, quand votre mère vous sort ça en ayant clairement l'air paniquée, il n'y a vraiment aucune chance de lui obéir. Même un enfant maltraité aura le réflexe de se précipiter pour aller l'aider. Parce que c'est sa mère, et que rien ni personne ne peut changer ça. Alors certes, c'est une très très très mauvaise idée, le pire étant que, même à 8 ans, on en est déjà parfaitement conscient. Mais on le fait quand même. Et on court derrière sa mère, mais pas assez vite. Et on la perd de vue. Et on commence à avoir une trouille de tous les diables, surtout qu'on sait très bien que, si on croit la milice, ça finira mal. Mais on continue, on se remet à courir aussi vite que possible, en rasant ce qui sert de murs à nos habitations décrépites. Jusqu'à ce qu'on tombe sur quelqu'un qui semble savoir ce qu'il fait, et qui vous dit que non, il ne faut pas aller plus loin, il faut partir rapidement, la milice n'est pas loin. Et là, même le plus jeune des mioches comprend parfaitement ce qui se passe.
Il m'a fallu des années pour savoir réellement ce qui s'était passé, et le comprendre, mais à 8 ans je savais déjà que mes parents étaient morts. Plus tard, j'ai su que ma mère avait retrouvé mon père la cervelle grillée par un blaster, et que ça avait dégénéré. Enfin pour elle bien sûr, parce que pour les soldats de la milice tout allait bien. Peut-être a-t-elle eu une chance, qu'ils ont pensé à la garder en vie pour le marché aux esclaves. Mais si c'est le cas, je suis certain qu'elle s'est défendue suffisamment pour les faire changer d'avis et préférer la tuer. Chance, malchance ou destin, un éducateur de l'orphelinat n'était pas très loin et connaissait ma petite famille réduite à un membre unique et haut comme 3 bouillies gélatineuses. Au lieu de rentrer se planquer chez lui comme le bon sens aurait dû le lui souffler à l'oreille, il a pensé à se précipiter vers notre taudis et m'a trouvé sur la route. C'est comme ça que j'ai mis pour la première fois les pieds à l'Orphelinat. Oui, l'Orphelinat, avec un grand O s'il vous plait. Il n'a pas de nom, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs, mais on s'y fait. Alors il mérite bien un grand O à la place.
J'ai continué de grandir là-dedans, avec une multitude d'autres enfants aux passés bien moins réjouissants que le mien. Je n'étais pas un élément perturbateur, j'étais plutôt du genre à rester dans mon coin sans embêter personne, à ressasser ce que j'avais compris de la mort de mes parents et que les adultes avaient bien sûr cherché à me cacher. Ca aussi, c'est un truc stupide que les grands croient maîtriser : plus on planque quelque chose à un enfant, plus il le sent, va chercher à savoir ce que c'est, et va trouver, naturellement. Ils trouvent toujours. J'ai vite compris qui était responsable de la destruction de ma famille et, bien évidement, je me suis mis à haïr la milice. Et les Asariens, parce que c'était eux les responsables. D'ailleurs même si les adultes essayaient de nous protéger, nous savions bien ce qu'il se passait. Nous entendions parfaitement les derniers exploits que les Asariens se vantaient d'accomplir sur les humains. Nous étions parfaitement conscients que, si nous vivions dans ces taudis, à ne jamais manger à notre faim, à devoir courir pour aller de l'école à l'Orphelinat sous peine d'avoir des ennuis avec la milice, c'était la faute des Asariens. Le climat idéal pour entretenir la haine et le désir de vengeance, je ne pouvais pas passer à côté.
Alors je réfléchissais à tout ça dans mon coin, élaborant des millions de plans à mettre en place pour venger mes parents et faire payer aux Asariens ce qu'ils nous faisaient subir. Bien sûr il fallait toujours qu'un autre mioche vienne me tester alors que j'étais en pleine réflexion, parce que ça fait bizarre un gamin solitaire. Et c'était encore plus important entre garçons. Une histoire de celui qui pisse le plus loin, ce genre de choses. Mais je suis plutôt content d'avoir eu ces gamins-là pour m'apprendre la vie : ça m'a permis de découvrir que, même si j'étais d'un naturel calme et discret, ça ne m'empêchait pas de cogner pour me défendre. Et j'étais même plutôt bon à ce jeu-là, j'ai toujours eu une bonne endurance. Peut-être que la bouillie gélatineuse de ma mère était d'une grande qualité malgré son apparence et son goût désastreux.
Vers mes 17 ans, j'avais élaboré suffisamment de plans pour pouvoir en tenter quelques-uns, ce qui tombait bien puisque mon désir de vengeance atteignait son paroxysme. Je ne pouvais plus rester à l'Orphelinat : ils auraient été un obstacle à l'accomplissement de mes projets. J'en suis donc parti et, une fois de plus, ma vie aurait pu devenir un véritable enfer. Mais non. Bon d'accord j'avoue, j'ai passé à peu près 5 ans de pure galère, mais même ça, ça aurait pu être pire. Je ne dis pas que c'était facile de vivre seul dans le bidonville, de crever de faim la plupart du temps, de devoir se planquer la nuit derrière des panneaux de métal en ruines avec juste assez de place pour respirer sous peine de se faire choper par la milice. Je ne dis pas que c'était une partie de plaisir de mendier pour une heure ou deux de travail mal payé, souvent crade et difficile, pas plus que d'être maigre comme un chien malade. Pas plus que c'était amusant de jouer des poings régulièrement pour ne pas se faire piquer un malheureux morceau de pain rassis presque immangeable parce que j'étais loin d'être le seul miséreux à traîner dans les rues. Bon ok, c'était sûrement un peu l'enfer, j'avoue. Tous mes beaux plans étaient tombés à l'eau depuis un bail. J'arrivais même pas à manger à ma faim, alors venger mes parents, fiouuuuu j'en étais bien loin ! Et quand j'ai fini par me faire agresser par 2 soldats de la Milice, j'étais presque content de me dire que j'allais sûrement me faire tuer, que je finirais là ma vie, comme mes parents, et au moins j'aurais la paix.
Mais non. Alors que je pensais avoir enfin le droit au repos éternel, à défaut du repos tout court, les Miliciens se sont écroulés, aussi raides que j'étais censé le devenir la seconde suivante. C'était un mercenaire d'un certain âge qui n'appréciait pas qu'on maltraite les enfants. Un peu réticent à parler, j'ai quand même fini par lui raconter comment j'en étais arrivé là et, au lieu de tout simplement m'envoyer balader comme la plupart des gens le faisait si bien, il m'a embarqué avec lui. Quand je vous dis que ma vie aurait pu être bien pire, vous voyez, je ne mentais pas. A partir de cet instant, tout a changé. Alors certes, le monde n'est pas subitement devenu un havre de paix et d'abondance, loin de là. Mais j'avais quelqu'un qui s'occupait de moi et, du haut de mes 22 ans, j'avais beau être un adulte, ça me faisait un bien fou. Surtout que Levioque, comme je l'appelais, n'était pas non plus des plus tendres.
Il comptait se retirer du métier mais, avant, comme si c'était une tradition ou je ne sais quoi, il lui fallait avoir quelqu'un pour prendre sa relève. Quelqu'un à qui il enseignerait ce qu'il savait pour que ses connaissances servent à une autre personne et ne meurent pas avec lui. Un truc du genre. J'étais l'occasion qu'il attendait. Et puis je pense que, quelque part, il était très content à l'idée de former un gamin du bidonville, un mioche qui n'avait absolument rien et à qui il donnait tout. Je le soupçonne d'avoir eu une sorte de fibre paternel même s'il ne l'a jamais avoué. Je ne m'en plaindrais pas cela dit, parce qu'il m'a véritablement tout appris. Ce furent 4 longues années difficiles, avec des entraînements quotidiens, des exercices d'endurance, d'agilité, d'esquive, de tirs, d'armes en tous genres, et je finissais mes journées couverts de bleus, chaque muscle de mon corps douloureux. Mais ça ne m'empêchait pas de recommencer le lendemain, parce que c'était là ma chance : j'allais obtenir les capacités requises pour assouvir ma soif de vengeance. Alors je me donnais à fond.
Entre les entraînements, quand je le pouvais, je me renseignais sur mes parents et, surtout, sur la Milice présente ce soir-là. Levioque avait ses contacts, et me trimbalait dans les autres dômes de la ville quand il avait des contrats. On a même été quelques fois dans les terres sauvages. Si je n'avais pas été rongé par la soif de vengeance, j'aurais davantage apprécié ces moments. Mais ce n'était pas le cas. Finalement, j'ai pu avoir accès à l'information que je cherchais et aux identités des 2 soldats responsables de la destruction de ma famille. J'ai pu négocier avec Levioque : il me laissait gérer la chose et si je réussissais, ça signifiait que son enseignement était efficace. Une sorte d'exercice pratique en somme. Il n'a pas cherché à me dissuader.
Ce fut un moment... Mémorable. Je crois aussi que c'est à partir de cet instant que j'ai développé un petit faible pour les armes blanches, même celles qui ne possèdent pas d'aura électromagnétique. Un simple couteau bien aiguisé peut faire tellement de ravages quand on sait où le planter, et où faire une petite coupure en apparence anodine, et pourtant si mortelle. Et puis, c'est plus pratique à avoir sur soi : j'aime bien sentir mes lames habilement dissimulées sous mon pull, fixées à mes avants-bras. Et puis ça n'empêche pas de porter un blaster naturellement.
Je pensais que ma vengeance enfin assouvie me ferait me sentir bien. Apaiser ma colère. Mais, si ça a été un réel soulagement, ça n'a pas tout réglé. Mes parents ont été vengé, pas ressuscités. Et ça ne changeait rien aux milliers d'humains martyrisés par les Asariens. Hélas je ne pouvais pas partir en croisade contre eux. J'avais beau être doué au combat et développé d'excellentes capacités de survie, je restais un humain. Seul, je n'avais aucune chance. A la limite, si j'arrivais à devenir par miracle un mercenaire réputé, j'aurais peut-être une chance d'atteindre des niveaux plus élevés, mais, à part me suicider en emportant avec moi quelques Asariens bien placés, je ne pourrais rien faire. Mauvais plan donc.
J'ai terminé mon apprentissage avec Levioque et j'ai fait quelques contrats, certains avec lui, d'autres sans, histoire d'avoir de quoi manger. Mais ça ne me satisfaisait pas. Je n'étais pas persuadé d'avoir trouvé ma voie. Et je n'étais pas persuadé que mes parents auraient voulu que je me perde dans le combat et le sang. Alors j'ai fini par retourner à la source pour voir ce qu'elle m'inspirerait : je suis retourné à l'Orphelinat. Les enfants avaient changé bien entendu, et certains éducateurs aussi, mais il y avait toujours mes repères. C'est là que j'ai compris ce que je pouvais faire : combattre les Asariens, amener plus de haine et de sang, n'aiderait personne. Par contre, ces gamins avaient besoin d'aide. Il leur fallait des épaules solides sur lesquelles compter. Des gens qui seraient là quand ils auraient des problèmes, et qui pouvaient leur apprendre la vie sans leur imposer d'idées préconçues. Et ça, je savais que je pouvais le faire.
J'ai donc changé de vie, abandonnant celle de mercenaire rancunier pour celle d'éducateur attentif. Je pense que j'ai globalement gagné au change non ? D'autant qu'aider à l'Orphelinat ne m'a jamais empêché de continuer mes exercices physiques, parce que j'aime bien les faire, et puis ça sert. Quand un Milicien trop zélé s'en prend à un enfant par exemple, j'apprécie d'être en état de lui tenir tête. Bon ça finit toujours en course effrénée parce que gérer un soldat, ça peut aller s'il n'a pas de super pouvoir monstrueux, mais quand ses copains rappliquent c'est juste impossible, donc il faut se carapater fissa, mais ça leur apprend la vie aux mioches. Et ça les motive aussi pour faire quelques exercices avec moi. Rien de tel qu'une après-midi passé à se taper dessus pour avoir une bonne nuit de sommeil après !
Je ne dis pas que gérer des gamins est facile, surtout les adolescents. Mais j'ai un excellent feeling avec eux, et même les plus "difficiles" comme on dit comprennent que je suis leur allié. Il faut dire que je leur fais vite le topo : je ne suis pas leur père et ne le serais jamais. Je suis juste leur éducateur. Et à ce titre, peu importe ce qu'ils peuvent faire, dire, imaginer : jamais je ne les laisserai tomber. Ils peuvent bien essayer de me faire toutes les crasses du monde, ça ne changera rien. Par contre ça ne m'empêche pas de répliquer, donc à leurs risques et périls ! Je peux me montrer très taquin quand je veux. Lorsque la directrice décida de passer la main, c'est apparemment sans surprise pour la plupart des collègues qu'elle me demanda de prendre le relais. J'étais tellement concentré sur les gamins que je n'avais pas pris le temps d'envisager cette possibilité. Mais ça m'allait. Et ça me va toujours.
M'occuper des gamins et de l'Orphelinat en entier m'a aidé à faire la paix avec moi-même. A calmer cette haine grondante qui me bouffait le coeur et m'avait donné des envies de massacre qui n'auraient aidé personne. Alors qu'ici, je suis vraiment utile. J'aide ces jeunes à aller de l'avant. A découvrir qu'ils ne sont pas des ratés, qu'ils ont des capacités et que, malgré tout ce qu'ils ont pu vivre et vivront encore, ils sont fantastiques. Que personne n'a à choisir pour eux. C'est en changeant les mentalités au plus tôt qu'on peut changer le monde. En tout cas c'est ce que j'essaye de croire.
J'avoue que l'Orphelinat me prenait tout mon temps et, du coup, je ne suivais pas vraiment les actualités en dehors du bidonville, que je ne quittais jamais. Savoir ce qui se passait ailleurs ne m'intéressait pas, car c'était souvent juste démoralisant. Je préférais consacrer mon énergie aux enfants et à améliorer au maximum de mes compétences leur seule maison. Mais je savais qu'il existait des groupes aux valeurs diverses qui se battaient pour leurs convictions. Certains avaient tendance à déteindre sur des jeunes d'ailleurs, et d'autres moins scrupuleux n'hésitaient pas à les manipuler pour pouvoir plus tard les recruter et s'en servir afin d'atteindre leurs objectifs. Le mieux que je pouvais faire était de les prévenir des conséquences que ça pouvait avoir sur eux. Pour ce que j'en savais, ça ne pouvait qu'amener la cité à un bain de sang un jour ou l'autre... Je n'irais pas les blâmer pour autant : c'est ce que j'aurais voulu faire il y a quelques années à peine après tout.
Une nuit, alors que le bidonville était agité, 2 personnes vinrent frapper à la porte de l'Orphelinat. Habitué à peu dormir et attentif au moindre bruit suspect, j'étais venu ouvrir. C'était un couple qui était poursuivi par la Milice. En ce qui me concerne, c'était amplement suffisant pour que je les aide, je m'arrangerais donc pour les dissimuler dans le bâtiment jusqu'à ce que ça se calme. Une fois certain que la Milice ne comptait pas venir fouiller les lieux, nous pûmes discuter et je compris bien vite de qui il s'agissait. Je n'étais pas stupide et, même si la femme, Mara, faisait attention au choix de ses mots, ce qu'elle disait était suffisant. Il s'agissait de Pacificateurs, un de ces groupes qui essayaient de changer le monde. Je n'en savais guère plus et, comme il valait mieux garder ces 2 personnes ici jusqu'au matin, j'en profitai pour en savoir plus.
Mara sait parler simplement, sans fioritures, et parvient toujours à toucher le coeur des gens. Pourtant, même si cette nuit-là son discours me paraissait bien pensant, je n'étais pas convaincu. J'avais beau m'être tenu à l'écart des Asariens et de leurs histoires, parvenant par miracle à vivre dans la petite bulle de mon Orphelinat - oui j'ai fini par le considérer comme mon enfant à moi celui-là et gare à qui y touche - je gardais toujours le souvenir de ma haine envers eux. Et ce que je voyais et entendais au bidonville me montrait toujours qu'eux-mêmes continuaient à nous considérer comme des sous-êtres et ne se privaient pas pour nous faire souffrir. Alors difficile dans ces conditions de croire qu'il soit possible de vivre tous en harmonie.
Pourtant, au fil de nos discussions, elle réussit à semer un petit doute en moi. Qui devint un léger espoir, très ténu, à peine un souffle éphémère voué à disparaître au moindre obstacles. Mais pourtant bien là. Et puis, à voir les enfants évoluer, j'ai vite fini par me poser une question indispensable : quel avenir ont-ils ? Une vie de misère dans le bidonville ? C'est encore la meilleure de leurs possibilités. Sinon... Être attrapé par la Milice, vendu comme esclave, torturé jusqu'à recevoir le coup final mettant un terme à une vie de douleur et d'horreurs ? Guère réjouissant n'est-ce pas ? Ou alors... Devenir mercenaire, allant jusqu'à traquer d'autres humains pour gagner en notoriété et espérer un jour vivre sans être dans le besoin ? A moins d'être une ordure, impossible de partir sur cette voie sans devenir fou. Et mes gamins ne sont pas des ordures, loin de là, j'y veille, même si on peut croire le contraire. Il faut juste se donner la peine de les connaître.
Je veux un véritable avenir pour ces gamins. Je veux qu'ils puissent être véritablement instruits, pas juste savoir à peu près lire et écrire. Je veux qu'ils aient une chance de monter en grade, d'avoir un métier qu'ils auront choisi, et qui ne serait pas réservé aux Asariens. Je veux qu'ils marchent fièrement dans leurs rues sans risquer de se faire rafler et de finir comme esclave pour allez savoir quel tordu. Mais pour ça, il n'y a que 2 solutions : exterminer les Asariens ou... Arriver à vivre avec eux. J'ai déjà fait une croix sur la première option, donc... J'ai fini par rejoindre la seconde. J'avoue que je n'étais pas entièrement convaincu au départ, quand il y a un an j'ai demandé à Mara de rejoindre sa cause après une intense discussion. Mais au fur et à mesure, j'ai pu constater qu'elle arrive vraiment à agir, pas juste à parler. Qu'elle peut peut-être faire bouger les choses, même si cela implique de se salir les mains. Qu'elle fédère d'autres personnes autour d'elle, des personnes qui veulent croire en un avenir commun, égal pour tous, sans qu'une partie de la population vive dans le dégoût et la crainte de l'autre.
Je ne sais pas si c'est vraiment possible, mais j'ai eu envie d'y croire. Tout comme j'ai envie de croire en Mara. Elle est un peu la petite soeur que je n'ai pas eu, parce que je sens que, malgré ses grands airs, malgré la force qu'elle dégage, il y a aussi là-dessous une petite fille apeurée qui doit se cacher sous son lit en entendant la Milice approcher. Oh bien sûr je n'irai pas lui dire, je ne suis pas suicidaire ! Mais je le sais, c'est tout. Peut-être est-ce une déformation professionnelle. A force de sentir la nature des adolescents qui font tout pour la cacher, je le fais aussi avec les adultes. Mais après tout, ne sommes-nous pas des éternels enfants ? Hum je m'égare. Reste que je fais tout ce que je peux pour aider les Pacificateurs. Ma formation et mon expérience de mercenaire ne peuvent que leur être utile, et je n'ai pas peur de laisser un instant mon Orphelinat à mes équipes d'éducateurs pour remplir une mission dangereuse. Je préfère même que ce soit moi qui m'en charge plutôt que Mara : c'est elle l'âme du groupe, si elle meurt, le groupe aussi, j'en suis certain. Il est encore trop fragile pour être capable de se remettre d'une telle perte. Donc, même si elle dira sûrement qu'elle n'en a pas besoin, je n'hésiterai pas à la protéger, quitte à devoir prendre un tir de blaster à sa place.
D'ailleurs j'avoue que j'aurais voulu être avec elle lorsque les Pacificateurs ont dû aller explorer des laboratoires souterrains. Mais ils n'ont pas fait appel à moi, et je soupçonne fortement Mara de leur avoir demandé de ne pas me contacter : elle savait sûrement que je devais gérer le cas de Jared, qui avait encore trouvé le moyen de se mettre dans le pétrin. Sauf que cette fois, c'était bien plus grave que de simples petits larcins sur le marché, et le tirer d'affaire n'avait pas été une sinécure. Mara se doutait sûrement que, si j'avais dû laisser quelqu'un d'autre gérer cette situation pour partir avec les Pacificateurs, je m'en serais voulu. Je n'y peux rien, j'ai du mal à déléguer quand un jeune a des ennuis. Et puis ça s'est révélé plus que costaud, ce que je craignais, alors je ne peux pas envoyer un éducateur qui ne sait pas se battre dans ce genre de situation. Je ne pouvais vraiment pas me défiler. Et puis en fin de compte le groupe n'a pas eu besoin de moi, ils s'en sont très bien sortis, alors je n'ai pas à m'en faire. Je n'ai pas encore eu à choisir entre l'Orphelinat et les Pacificateurs, et je fais tout pour que cela n'arrive jamais.
Bien plus inquiétant ont été les évènements au bidonville l'autre nuit. La journée avait pourtant été bonne, même excellente. La petite Léa, qui ne pipait mot depuis son arrivée, avait fini par me parler. Ca n'avait pas été très long et elle ne s'était pas montrée bavarde mais peu importe, le fait était là : elle avait communiqué autrement que par un regard rempli de tristesse et de résignation. Un grand pas en avant. Puis dans l'après-midi, une ancienne résidente, Malou, était revenue. Sa disparition avait été terrible pour l'ancienne directrice qui s'y était beaucoup attachée, alors la revoir avait bien évidemment était source d'une grande joie. J'étais aussi ravi de la recroiser, et en bonne santé. Même si j'avais été discret lors de son séjour ici, j'avais toujours gardé un oeil sur elle. Ce fut une belle occasion de manger ensemble, et même si le repas était loin d'être parfait, au moins était-il joyeux et émouvant, chose assez rare pour que tout l'Orphelinat en profite en sachant combien c'était précieux. C'était aussi l'occasion de montrer que, même orphelin, on pouvait s'en sortir car notre petite Malou semblait en forme et en bonne santé. Et bien accompagnée semblait-il.
Les enfants couchés, la nuit continua avec les adultes et l'ancienne directrice sortit même LA bouteille qui ne devait être débouchée que pour une grande occasion. C'est dire si le lien était fort avec Malou. Lorsque finalement il fut temps pour son ami et elle de partir, il y eut maintes promesses de retour et une nouvelle séparation bien plus facile à gérer eut lieu. La prochaine fois, mon ancienne supérieure n'aurait pas besoin d'attirer Malou avec un souvenir de son passé pour la faire venir. L'heure était désormais pour elle d'aller se reposer tandis que pour ma part je comptais finir un dossier. Sauf que, si j'étais bien reparti sur ce travail pas des plus passionnants mais indispensable pour la gestion de tout ce petit monde, je ne pus le terminer : des hurlements me tirèrent de mon bureau, mélange de cris d'enfants et de... Quelque chose qui n'avait rien d'humain. Ca y est, les Asariens avaient enfin décidé de s'en prendre à nous ? C'est en tout cas ce que je me dis alors que je me précipitais dans les couloirs en appelant les jeunes pour qu'ils sortent et en tirant les éducateurs de nuit de leur salle de repos.
Mais ce n'était pas ça. Enfin je n'en sais toujours rien à l'heure actuelle. Après tout, rien ne dit que ce ne sont pas les Asariens qui sont derrière ces abominations. A cet instant précis, je n'eus surtout qu'une idée en tête : empêcher la chose monstrueuse que j'avais en face de moi de faire du mal aux enfants. Je ne savais pas ce qu'elle faisait là et à vrai dire ça m'était totalement égal. Elle avait brisé la fenêtre d'une chambre et peut-être blessé les petits qui s'y trouvaient avant de rejoindre le couloir. Pour l'heure elle me tournait le dos, et je ne comptais pas attendre une seconde de plus pour en profiter. Je n'avais pas mon blaster avec moi, mais j'avais toujours mes couteaux. D'un mouvement précis des poignets, j'enclenchais le système de mes harnais d'avant-bras dissimulés sous mon pull et deux fines lames extrêmement tranchantes se retrouvèrent entre mes doigts. J'en lançais une vers cette chose et elle se planta pile entre ses omoplates, enfin ce qui y ressemblaient en tout cas. C'était douloureux apparemment et, pendant que je criais aux enfants de s'éloigner, je fonçais sur ma cible avec ma deuxième lame.
J'avais attiré son attention et, en temps normal, il est certain que je n'aurais pas attaqué sans en connaître un minimum sur mon adversaire, surtout un truc pareil totalement inconnu au bataillon. Mais là, il y avait les enfants en jeu, alors l'heure n'était pas à réfléchir ni à se montrer prudent. Honnêtement je ne saurais pas dire ce qui s'est passé ni ce qu'il faut en comprendre. Je sais simplement que je pus blesser cette chose avant qu'elle ne décide subitement de bondir hors du couloir et, de là, de rejoindre l'extérieur. J'aimerais croire que je l'ai fait fuire, que les blessures que je lui ai infligées étaient suffisantes mais... J'en sais vraiment rien. Et sur le moment je m'en fichais royalement. La seule chose qui comptait était qu'elle était partie, elle avait laissé l'Orphelinat et je ne comptais pas lui courir après pour lui demander pourquoi. De ce que j'entendais, il y avait un sacré grabuge dehors, la Milice et peut-être plus encore était sur le coup. Je laissais donc les professionnels s'occuper du problème et me concentrais sur mon Orphelinat.
J'ignore combien de temps ça prit, mais ça finit par se calmer dehors. Les éducateurs de nuit et moi-même avions entretemps réussi à mettre en sécurité les enfants et à les calmer, petits comme grands. Ca ne fut pas une mince affaire, et ne pas pouvoir leur répondre fut éprouvant, mais nous nous en sortîmes honorablement bien. Dire que la journée s'était si bien déroulée... Maintenant que les choses sont à peu près redevenues normales, je compte bien aller à la pêche aux informations et comprendre ce qui s'est passé pour éviter que ça se reproduise. Et s'il faut trucider quelques personnes, je le ferais avec plaisir. Parce qu'on ne touche PAS à MON Orphelinat. Pas sans en subir les conséquences.
► Age : je tente de rester à 32 mais c'est duuuuur
► Fréquence de connexion : minimum une fois par jour
► Comment as-tu connu Asaria ? Je zieutais les partenaires de la Maison de la Nuit et puis comme j'avais du temps à perdre je suis venue voir et... et voilà !
► Pourquoi as-tu choisi Asaria ? J'aime bien la complexité du contexte, même si ça prend beauuuuucoup de temps pour tout lire, et même là je suis sûre que j'ai déjà oublié la moitié. Mais c'est bien rangé donc ça va, c'est facile de retrouver une information si besoin. Et puis je ne sais pas pourquoi j'ai eu un coup de coeur pour Alexander Crawford. Du coup... voilà pourquoi ! J'ai fait au mieux pour l'histoire par rapport aux infos que j'ai glanées ici et là, après s'il y a des erreurs c'est pas la fin du monde je corrigerais \o/
► Déclaration sur l'honneur à signer : "Je soussigné Alexander Crawford, atteste avoir plus de 18 ans, reconnais avoir lu le règlement dans son intégralité. Par ce fait, je ne pourrai entreprendre aucune poursuite contre le forum quant à son contenu, ni contre l'hébergeur. J'ai conscience que Asaria, terre de prophétie est un forum à intrigues pour plumes matures qui demande du sérieux, de la motivation, de la participation et du respect envers le staff et sa Communauté. Alexander Crawford + 07/06/2020
► Les 4 mots mystérieux du règlement : Phoenix Heroes RavenBlack Liberty
Fille du Prophète Pacificatrice Asarienne
Amaria Saria
Feat : Famke Janssen Nombre de messages : 966 Localisation : Asaria Age du personnage : 91 ans Côté coeur : Libre
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Informations Complémentaires Pouvoirs ou Capacités: Télépathie, Télékinésie, Pyrokinésie Appartenance: Asarienne Pacificatrice Activité/Métier: Médecin urgentiste et Généticienne, Fondatrice du dispensaire
Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Dim 07 Juin 2020, 20:18
Bienvenue ami et allié sur le forum ! Au plaisir de te croiser en RP
Asarien, 2e Génération
Nathan Wilson
Feat : Colin O'Donoghue Nombre de messages : 295 Age du personnage : 36 ans Côté coeur : Vide
Points RP du mois : 0
Informations Complémentaires Pouvoirs ou Capacités: Métamorphing - Invisibilité - Dazzler Appartenance: Nouvelle génération Activité/Métier: Lead vocal du groupe "Fantasya"
Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Dim 07 Juin 2020, 20:55
Bienvenue Alexander !
Leader des Pacificateurs ; Humaine
Mara Jade
Feat : Kate Beckinsale Nombre de messages : 13803 Localisation : Asaria et ses plaines. Age du personnage : 28 ans Côté coeur : Il est mon âme soeur
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Informations Complémentaires Pouvoirs ou Capacités: Maniement des armes blanches et à feu,combattante redoutable Appartenance: Humaine Pacificatrice Activité/Métier: Indépendante et Libre
Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Dim 07 Juin 2020, 20:59
Bonsoir Alex ! Je vais lire ta fiche et je reviens au plus vite vers toi
Pacificateur Humain
Alexander Crawford
Feat : Chris Evans Nombre de messages : 573 Age du personnage : 30 ans Côté coeur : Célibataire
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Informations Complémentaires Pouvoirs ou Capacités: Maîtrise d'armes diverses, du combat en général, avec une préférence pour les armes blanches et le corps-à-corps Appartenance: A l'orphelinat ! Activité/Métier: Directeur de l'orphelinat
Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Dim 07 Juin 2020, 21:45
Merci à tous \o/
Pas de souci Mara tu peux prendre ton temps, ya rien d'urgent ^^ (et comme ça je garde l'espoir de ne pas avoir fait trop d'erreurs encore un petit peu )
Compte Administrateur
Asaria
Feat : La Cité Nombre de messages : 969 Age du personnage : * Côté coeur : *
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Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Dim 07 Juin 2020, 21:50
Pacificateur Humain
Alexander Crawford
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Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Dim 07 Juin 2020, 22:33
Oooooh super, merci beaucoup ! *-* Je fonce faire tout ça et des yeux doux pour avoir des Rp maintenant
Asarien, 2e Génération
Nolan McGrath
Feat : Richard Madden Nombre de messages : 455 Age du personnage : 32 ans Côté coeur : Coeur à prendre
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Informations Complémentaires Pouvoirs ou Capacités: Illusion - Invisibilité - Téléportation Appartenance: Asarien Activité/Métier: Propriétaire du Five
Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Lun 08 Juin 2020, 07:48
Bienvenue Alexander et amuse-toi bien parmi nous !
Pacificateur Humain
Alexander Crawford
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Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Lun 08 Juin 2020, 08:59
Merciii Ca devrait le faire !
Pacificatrice Asarienne
Hélèna Carter
Feat : Erica Durance Nombre de messages : 2963 Localisation : Toujours dans les emmerdes !! Age du personnage : 28 ans Côté coeur : Célibataire
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Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Lun 08 Juin 2020, 14:20
Youpiiii le groupe s'agrandit !!
Bienvenue Alexander !
Invité
Invité
Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Lun 08 Juin 2020, 14:52
Avec du retard, bienvenue parmi nous !
Pas du bon côté pour moi mais Grant sera ravi d'avoir un Pacificateur de plus :)
Pacificateur Humain
Alexander Crawford
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Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Lun 08 Juin 2020, 16:08
Merci à vous \o/
C'est normal, les Pacificateurs sont les meilleurs : ils sont bleus !
Invité
Invité
Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Mar 09 Juin 2020, 10:26
Wow, bienvenue le nouveau dirlo qui a remplacé l'ancienne directrice adorée !!!! Il faudra donc que Malou retourne vite à l'orphelinat pour un petit coucou et plus !!! (je pense qu'elle va te tanner pour que tu lui apprennes à se défendre avec des armes jusqu'à ce que tu lui cèdes, bon courage...! ) Ah, une question: est-ce que Alexander aurait pu être l'éducateur qui apprenait aux enfants le self défense dont mon perso parle dans sa fiche ?
Pacificateur Humain
Alexander Crawford
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Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Mar 09 Juin 2020, 11:16
Merci ! J'espère que ce que j'ai noté concernant ton perso est correct, je n'ai pas trop détaillé histoire de minimiser les risques d'erreurs et je me suis basée sur ton post dans l'attaque du bidonville.
Je suis dispo pour RP si tu veux, aucun souci
Et oui, Alexander peut avoir géré (et même continuer) de donner les cours de self defense (j'ai bien dit qu'il proposait des exercices physiques aux gamins sans préciser quoi donc ça peut tout à fait être ça). Si tu veux qu'on se cale des détails plus précis, ya pas de souci je suis là \o/
Invité
Invité
Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Mar 09 Juin 2020, 12:02
tout était très bien ! je t'envoie un MP dès que possible; à tout bientôt
Pacificateur Humain
Alexander Crawford
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Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Mar 09 Juin 2020, 13:10
Super !
Ca roule, on va se caler tout ça ^^
« Insoumise » Asarienne
Donna Sanders
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Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Mar 09 Juin 2020, 17:43
Bienvenue Pacificateur !
Qui sait ... peut-être que l'on pourra se croiser in RP !
Pacificateur Humain
Alexander Crawford
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Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé] Mar 09 Juin 2020, 18:10
Merci !
Ce sera toujours avec plaisir ^^ (j'ai fait une demande mais je crois que j'aurais dû la poster après mes sujets de suivi, ils l'ont recouverte les vilains xD).
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Sujet: Re: On ne touche pas à MON Orphelinat [Terminé]